Camus

joined 1 year ago
[–] [email protected] 0 points 2 months ago

Ah, c'est le PDG qui m'as induit en erreur

[–] [email protected] 0 points 2 months ago

Je l'ai posté sur [email protected] , le niveau de mauvaise foi par des trolls d'extrême droite est assez fou

[–] [email protected] 0 points 2 months ago (2 children)

J'ai pas la ref

[–] [email protected] 0 points 2 months ago* (last edited 2 months ago) (1 children)

Après je peux comprendre l'agacement, ça m'a pris deux minutes de trouver cet article

Surtout que bon, publicsenat c'est pas non plus un média extrêmement biaisé à gauche.

[–] [email protected] 0 points 2 months ago (3 children)

"Au sens strict", "en soi"… C'est oublier que les effets d'une bonne loi homophobe dépassent toujours le motif prétendu dans sa rédaction, comme l'histoire s'échine à nous le rappeler. C'est encore Robert Badinter qui en parle le mieux, dans le long entretien qu'il avait accordé à têtu· fin 2021. "Le vieux délit d'homosexualité ressuscité par le régime de Vichy", relevait celui qui en avait défendu des victimes, "était utilisé non pas tant pour poursuivre les homosexuels directement, 150 poursuites par an [dans les années 1980, ndlr], qu'à d'autres fins". D'abord, rappelait-il, ce délit permettait à des bandes crapuleuses de piéger des hommes gays pour les soumettre à un chantage. L'autre conséquence de cette loi, soulignait l'ancien garde des Sceaux, "c'était le fait d’hétéros qui pratiquaient en bandes la chasse à l'homo, et en particulier la police française". À son tour, celle-ci pouvait allègrement piéger des homos sur des lieux de drague ou pratiquer des descentes dans des lieux clandestins, arrêtant les clients sans nécessairement se préoccuper de l'âge de leurs partenaires.

Au titre de la loi du 6 août 1942, sur la base des archives de la police et de la justice, le socio-historien Régis Schlagdenhauffen évalue à 10.000 le nombre d'hommes "qui ont été inquiétés, arrêtés, condamnés à raison de leur orientation sexuelle"

https://tetu.com/2024/02/13/histoire-gay-lgbt-depenalisation-homosexualite-france-1791-ou-1982/

[–] [email protected] 0 points 2 months ago (2 children)

(Retour du Camus normal)

Franchement j'ai des doutes qu'il tienne plus qu'un an

[–] [email protected] 0 points 2 months ago (1 children)

Pas sûr si tu as vu le tag "humour", c'est une référence à l'actualité 😄

[–] [email protected] 0 points 2 months ago

GG aux protestants qui eux le permettent

[–] [email protected] 0 points 2 months ago

Déjà les joueurs de foot je ne les juge pas au physique, alors les politiques...

[–] [email protected] 0 points 2 months ago (2 children)

un vieux droitard grisonant au lieu d’une jolie femme de gauche ?!

Qu'est-ce que le physique a à voir là-dedans ?

[–] [email protected] 0 points 2 months ago (2 children)
[–] [email protected] 0 points 2 months ago

Un commentaire d'il y a 5 mois, 91 haut-votes

Je suis pro-nucléaire au fond mais j'avoue que parfois /r/france ressemble à l'église des enfants de l'atome, ça en devient gênant.

https://old.reddit.com/r/france/comments/1bvgwha/quelle_opinion_populaire_sur_reddit_est_la_plus/kxzashs/

 
 

Résumé (Claude 3.5 Sonnet) :

L'article traite de l'annulation par le Conseil d'état d'un décret controversé sur l'habitat, surnommé "décret marchand de sommeil".

Points clés :

  1. Le décret, adopté en août 2023, permettait la location de logements considérés comme "atypiques" (plafonds bas, sous-sols peu éclairés, etc.).
  2. De nombreuses associations, dont le Droit au logement (DAL), s'y opposaient, arguant qu'il favorisait les marchands de sommeil.
  3. Le Conseil d'état a annulé la majeure partie du décret pour défaut de consultation du Haut Conseil pour la santé publique.
  4. Le décret avait été modifié après l'avis du Haut Conseil, incluant des mesures controversées non soumises à son examen.
  5. Le gouvernement défendait le décret comme une solution à la crise du logement, permettant de mettre sur le marché des biens "atypiques".
  6. Les associations de lutte contre le mal-logement ont salué cette décision, considérant qu'elle protège les locataires vulnérables.
  7. Cette annulation remet en question la stratégie du gouvernement visant à résoudre la crise du logement en assouplissant les normes d'habitabilité.
 

J'ouvre un fil dédié parce que le débat a l'air de prendre sur l'autre (https://jlai.lu/post/10020333) mais que j'ai l'impression que les gens s'interrogent plus sur le format du constat que sur le constat lui-même

Vu qu'on est sur Jlailu et que les gens aiment bien les sources

"Rapport sur la représentation de la société française dans les médias - Exercice 2022 et actions 2023 " par l'Arcom

On y découvre notamment les disparités entre les proportions réelles de certaines populations et leur représentation dans les médias (beaucoup de chiffres visibles dès la première page)

https://www.arcom.fr/nos-ressources/etudes-et-donnees/mediatheque/rapport-sur-la-representation-de-la-societe-francaise-dans-les-medias-exercice-2022-et-actions-2023

"Être femme et journaliste en Belgique francophone"

Synthèse d'un rapport de 200 pages sur la place des femmes dans le journalisme en Belgique francophone

https://www.ajp.be/journalistesfemmes/

Aussi cette longue vidéo (48 minutes) sur le sujet: https://www.youtube.com/watch?v=I0kZumR_FGU

Dans les médias, des rédactions encore trop « monochromes »

Selon une enquête du SNJ-CGT sur le racisme dans les rédactions, 24,2 % des 167 personnes interrogées déclarent en avoir été directement victimes et 47,1 % en avoir été témoins. Toujours dans la même enquête que Le Monde a pu consulter avant qu’elle soit révélée le 28 mars aux Assises du journalisme de Tours, 44 % des personnes interrogées déclarent avoir déjà été victimes de discriminations au travail (liées au genre, à l’orientation sexuelle, à la religion, aux origines).

https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/21/medias-des-journalistes-en-lutte-contre-des-redactions-encore-trop-monochromes_6166420_3234.html#:~:text=Selon%20une%20enqu%C3%AAte%20du%20SNJ,1%20%25%20en%20avoir%20%C3%A9t%C3%A9%20t%C3%A9moins.

"Il est temps de parler du manque de diversité dans les médias"

Niveau parité par exemple, l’accès aux postes hiérarchiques chez les femmes est largement en deçà de celui des hommes (98 femmes cheffes contre 372 hommes chefs) alors que 47% de la profession est féminine, selon les chiffres 2018 de la Commission de la carte de presse.

https://www.slate.fr/story/173538/representation-diversite-medias-femmes-minorite-hommes-blancs-reproduction-elites

"Où sont les journalistes racisés dans les rédactions?"

https://www.slate.fr/story/267107/journaliste-racises-medias-presse-redactions-obstacles-racisme-systemique-precarite-soupcons-militantisme-discriminations-ajar

Enfin, je cherche un article qui pourrait répondre à la question (un peu naive): "Pourquoi la diversité est-elle importante au sein d'un média"

Ca semble assez simple comme question, mais pas forcément si évident.

Si d'autres personnes ont des ressources, n'hésitez pas à les partager!

Edit:

Diversité dans les médias : « Il faut s’interroger sur la division genrée et raciale du travail journalistique »

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https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2018/07/06/diversite-dans-les-medias-il-faut-s-interroger-sur-la-division-genree-et-raciale-du-travail-journalistique_5327466_3236.html

Pour garantir l’égalité, l’échelle d’action de la République est toujours individuelle et non pas collective. C’est d’ailleurs en partie pour cela que les statistiques ethnoraciales ne sont pas autorisées en France, car elles participeraient à reconnaître l’existence des groupes « blancs » et « non-blancs ». Or, prendre uniquement en compte la classe sociale empêche de comprendre que les inégalités économiques sont articulées à d’autres rapports de pouvoir, et notamment au racisme et au sexisme.

Ainsi, même s’il est tout à fait salutaire que les rédactions travaillent à être plus représentatives de la société, les réflexions doivent aller au-delà de critères purement quantitatifs. Il faut s’interroger aussi sur la division genrée et raciale du travail journalistique : qui est chef de rubrique ? Quels sont les journalistes qui composent les rubriques « International », prestigieuse, ou « Vie pratique », moins valorisée ? Ou encore qui a le plus la parole dans les conférences de rédaction ? Les rapports de pouvoir se manifestent en effet de multiples façons, qu’il faut aussi interroger et prendre en compte.

https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2018/07/06/diversite-dans-les-medias-il-faut-s-interroger-sur-la-division-genree-et-raciale-du-travail-journalistique_5327466_3236.html

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