La boîte est désactivable, il est possible de mettre les liens autre part.
De plus il n'est pas très difficile de modifier dans le code les liens de la boîte, je viens de le faire rapidement (il faudra encore améliorer la liste des liens).
Donc l'argument selon lequel ça empêche de mettre des liens malveillants ne fonctionne pas.
Imagine une instance centrée sur l'environnement. Il faudra une boîte personnalisée centrée sur l'environnement. Une instance dans une langue peu parlé aura besoin de sa propre boîte. Beaucoup d'instances auront besoin de leur faire à leur sauce pour que ce soit efficace.
Le but du logiciel libre, c'est de donner la liberté à l'utilisateur, pas d'essayer de le restreindre dans l'utilisation du logiciel.
C'est bien que les outils existent, mais je préfère pouvoir entièrement les contrôler.
Non c'est juste un fichier texte où il n'y a que ça (sous forme d'une liste de dictionnaire) , c'est extrêmement simple à conserver même avec les mises à jour. C'est plus simple que d'installer piefed.
Non le problème c'est que tu donnes l'impression que tu trouves que c'est une super idée que ce ne soit pas l'administrateur qui contrôle le logiciel qui tourne sur sa machine. Et tu donnes l'impression que c'est la volonté des développeurs de piefed alors que ce n'est peut être pas le cas.
Théoriquement il n'y en a pas vu que j'ai réussi à faire la modification mais en pratique, la façon de faire la modification n'était pas documentée.
À ma connaissance, seule la liste de blocage a été modifié, pas le message d'erreur qui donnait l'impression qu'il y avait un problème technique, pas le moyen d'informer les administrateurs sur l'existence de la liste de blocage.
C'est différent. Là c'est toi l'utilisateur qui contrôle le serveur et tu fais ce que tu veux dessus. Les autres personnes n'ont qu'accès à un service.
C'est la personne qui héberge le logiciel qui a les pleins pouvoirs normalement, pas le développeur, pas celui qui utilise le service. Avec ses pleins pouvoirs, la personne peut respecter ou non la volonté des personnes qui utilisent le service.
Sur leur propre machine, si, les utilisateurs font ce qu'ils veulent. Je ne fais rien pour les empêcher de faire ce qu'ils veulent de leur côté. Sur ma machine, évidemment c'est moi qui décide.