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Communauté pour les LGBTQIA+,

Les allié·e·s sont les bienvenu·e·s.

Les échanges doivent être bienveillants et sans jugements.

On peut se découvrir allié·e en posant des questions aux membres et en échangeant avec eux.

Il faut respecter néanmoins les personnes et leurs "frontières".

founded 7 months ago
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Extrait de l'article

Se présentant comme une « majorité silencieuse » de « gays patriotes » opposés aux « dérives idéologiques woke et LGBT », à « l’immigration massive très souvent homophobe et [à] l’islamisation de notre pays », celui-ci a annoncé, le 11 juin 2025, sa volonté de participer à la Marche des fiertés, que son chef de file appelle pourtant la « marche des déchets ». À ce titre, Yohan Pawer affirme avoir reçu la promesse d’une protection policière de « 50 CRS » par un conseiller du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, avec qui il dit échanger depuis plusieurs semaines.

Complément d'infos:

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Juin est le mois des Fiertés. Un temps de visibilité, de mémoire, de lutte pour les droits des personnes LGBT+. Mais cette année, la Pride parisienne, se heurte à une offensive réactionnaire sans précédent. L’affiche de la marche, qui dénonce justement "l’internationale réactionnaire", a déclenché l’ire de l’extrême droite - et de la droite qui lui court sans cesse après.

Jean-Philippe Tanguy, Julien Odoul, Sébastien Chenu, Ruth El Krief… Ruth El Krief fulmine sur LCI, le RN crie au scandale et la machine s'emballe. La présidente LR de région, Valérie Pécresse, a emboîté le pas, retirant par deux fois l'équivalent de 50 000€ de subventions à l’Inter-LGBT qui organise.
Au-delà des pressions politiques, c’est aussi une stratégie d’infiltration de l'extrême droite militante qui se joue. Des micro-collectifs nationalistes comme Eros ou Nemesis tentent de s’imposer dans les cortèges, avec la complicité tacite des autorités qui leur propose, en supplément, la protection des forces de l'ordre.

Cette offensive s’inscrit dans une dynamique européenne plus large, où l’extrême droite attaque systématiquement les droits des LGBT+. En Hongrie, cette année, la pride a été interdite ; aux Etats-Unis, plus de 400 projets de loi visant à restreindre les droits des personnes trans ont été déposés en 2023.

L’Inter-LGBT, appuyée par plus de 130 associations, refuse tout compromis. Elle a annoncé que le cortège ne partirait pas si ces groupes sont présents. Pour les organisateurs, il ne s’agit pas d’exclure des opinions, mais de protéger le sens historique de la marche : une lutte contre toutes les oppressions. Une tribune signée par plus de 300 personnalités alerte : accepter ces présences, c’est abandonner le combat.

#MarcheDesFiertésParis #PrideParis

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Extrait :

Depuis 2019, la Pride des Banlieues remet les luttes LGBTQIA + au cœur des quartiers populaires. Née à Saint-Denis, cette marche pas comme les autres défend une fierté ancrée dans les réalités de terrain : précarité, exclusion, racisme et invisibilisation politique. À rebours des grands cortèges nationaux souvent perçus comme éloignés des réalités sociales, cette marche affirme haut et fort que les banlieues aussi sont traversées par des histoires queer et qu’elles méritent d’être racontées, visibles et célébrées. Cette année, le slogan de la marche est clair : « Des milliards pour la santé, pas pour l’armement. »

Extrait :

« Il est plus que temps de décentrer les lieux de fête et de pouvoir. Pourquoi faudrait-il faire 40 minutes de transports pour militer ? Marcher dans nos quartiers, c’est dire : ça, c’est ma ville, et je suis là. Cette marche, c’est souvent la première pour beaucoup et elle prouve que ça peut bien se passer, contrairement à ce que veulent nous montrer les médias. »

Extrait :

Gil revient aussi sur ses expériences liées au racisme. Par le passé, elle a souvent été la seule personne racisée dans les milieux militants, « beaucoup d’espaces blancs bourgeois ». Elle évoque aussi une forme de pudeur propre aux quartiers populaires, plus présente que les discriminations : « Je ne distingue pas forcément de couples LGBT dans les rues de Saint-Denis, certes, mais les couples hétérosexuels ne se tiennent pas plus la main pour autant. Ce n’est pas qu’on ne s’aime pas, c’est qu’on ne le montre pas pareil. » Face à un contexte favorable à la montée des violences et de l’extrême droite, Gil appelle à la mobilisation : « Si, avant, on recevait une insulte, maintenant on reçoit un coup. C’est contre cette LGBT-phobie désinhibée qu’il faut marcher. Parce que c’est important, politiquement. Il faut venir. Si on a le temps, l’argent et l’espace pour militer, alors il faut se décentrer de soi et se battre pour une lutte universelle. »

Extrait :

« En banlieue, je me sens à la maison. En vingt ans, j’ai été agressé deux fois. Dans les deux cas, c’était à Paris. La Gay Pride à Paris, ce n’est pas ma place : c’est un truc d’argent, de thunes. Ici, il n’y a pas de CE de banque qui viennent défiler. C’est plus politique. On revient aux origines de la Pride, qui est une manifestation de lutte.

https://www.telerama.fr/debats-reportages/la-pride-des-banlieues-defile-a-la-courneuve-ici-la-marche-des-fiertes-est-plus-politique-7026035.php

Extrait :

"J'ai besoin de me sentir représentée, de sentir qu'il y a d'autres personnes qui sont queer et racisées, qui vivent en même temps de l'homophobie et en même temps du racisme, et de marcher pour ces questions-là", explique à l'AFP Saffiya (qui n'a pas souhaité donner son nom de famille), 27 ans.

Extrait :

"Le vrai problème quand on est LGBT dans les quartiers populaires", c'est "plutôt la précarité et les manquements de l'Etat, et c'est pour ça qu’on pose la question de la santé qui est un enjeu majeur", précise-t-il. Le slogan "Des milliards pour la santé, pas pour l'armement" était le mot d'ordre de cette cinquième édition.

https://www.laprovence.com/article/france-monde/7187081231106814/en-seine-saint-denis-des-milliers-de-manifestants-a-la-marche-des-fiertes-des-banlieues

Extrait :

Pour certains.es, c'était même leur toute première pride. Nour, par exemple, est venue de Saint-Denis. "C'est stylé de voir qu'on n'est pas seul à être queer en banlieue", sourit la jeune femme de 15 ans.

Extrait :

Ils sont nombreux.ses à se sentir moins seul.e grâce à cette marche des fiertés, organisée au pied de chez eux. "Ça m'a permis de me rendre compte qu'il y avait des gens queer à côté de chez moi, dans les rues, qui, eux aussi, vivent comme moi et qui m'acceptent comme je suis", constate Céleste, femme trans de 15 ans. Elle a fait sa transition l'année dernière. "Au collège je pense que je me suis plus fait appeler pédé que Céleste, donc être ici, ça fait du bien."

Extrait :

"Aujourd'hui, il y a une personne homosexuelle sur cinq qui déclare avoir vécu des discriminations en allant chez le médecin. Quand on est aussi racisé, on parle du syndrome méditerranéen, les médecins vont minimiser les souffrances des patients, ce qui peut amener à des situations tragiques."

https://www.francebleu.fr/infos/societe/pride-des-banlieues-a-la-courneuve-je-me-suis-rendu-compte-qu-il-y-avait-aussi-des-gens-queer-a-cote-de-chez-moi-6720444

ofc : https://www.pridedesbanlieues.org/

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Sans déconner, elle est pas magnifique cette affiche ?

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Pour celles et ceux qui ne connaissent pas cette pratique atroce : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9rapie_de_conversion?wprov=sfla1

C'est déjà interdit en France et dans plusieurs pays européens, mais malheureusement la majorité des pays l'autorise encore.

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Programme

  • Le pouvoir de la fiction/littérature contre l’homophobie
  • La BnF, un outil de recherche pour les questions LGBTQ+
  • Hommage à Lionel Soukaz, pionnier du documentaire sur le militantisme LGBT
  • La patrimonialisation de la mémoire LGBTQ+
  • Au-delà du genre, les transidentités dans les romans pour ados
  • Sappho, désirs et musique au XVIIIe siècle
  • Le culturisme aux origines du queer
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Reconnaissance mais sans réparation financière. Le Sénat a adopté ce mardi 6 mai, pour sa deuxième lecture, la proposition de loi ouvrant la voie à la réhabilitation des personnes condamnées pour homosexualité en France, refusant néanmoins à nouveau d'y associer le volet indemnitaire voté par l'Assemblée nationale. Le texte du sénateur socialiste Hussein Bourgi, adopté à l'unanimité même si la gauche l'a jugé "insatisfaisant" dans cette version, entend faire reconnaître par la France sa politique de discrimination à l'encontre des homosexuels entre 1942 et 1982, année de la dépénalisation définitive de l'homosexualité.

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En mai, on ne plaisante pas avec la culture, et de surcroît quand elle est queer ! Pierre et Gilles, Virginie Despentes, Kiddy Smile investissent les scènes de France et de Navarre, ainsi que de nombreuses drags aux multiples talents…

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Intitulé "Hotel Reverie", le troisième épisode de la nouvelle saison de Black Mirror, disponible en streaming sur Netflix, met en scène une histoire d'amour lesbienne dans l'Hollywood homophobe des années 1940.

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Cas d'école - L'histoire de Caroline

@lgbt

https://blogs.mediapart.fr/158568/blog/280125/cas-decole-lhistoire-de-caroline

Parce qu'elle est mariée à une femme, Caroline a subi les attaques d'un corbeau qui l'a menacée de mort et a tagué des insultes homophobes sur le mur de son école. On aurait pu croire que sa hiérarchie et les parents d'élèves auraient fait bloc pour la soutenir. Il n'en a rien été. Parce qu'il ne faut rien laisser passer, découvrez son histoire dans ce nouvel épisode de « Cas d'école ».

#lgbt #lgbtphobie #ecole #violence

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Personnellement, je bannis les US des pays visitables pendant au moins quatre ans. Et vous ?

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Le très grand succès remporté par une émission de télé-réalité rassemblant des candidats de même sexe montre une profonde évolution des mentalités. Mais le Japon ne semble pas encore prêt à adopter des innovations législatives comme le mariage pour tous.

À la mi-décembre, Netflix Japan a annoncé le renouvellement pour une deuxième saison de The Boyfriend, première émission de télé-réalité japonaise de rencontres amoureuses entre candidats du même sexe. Restée six semaines consécutives dans le top 10 des audiences Netflix après son lancement le 9 juillet dernier, la première saison avait fait un carton.

Est-ce là un signe d’espoir pour les droits LGBT+ dans l’un des derniers pays du G7 à ne pas avoir légalisé le mariage pour tous ? Pas sûr.

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cross-posted from: https://jlai.lu/post/14092017

cross-posted from: https://jlai.lu/post/14091966

On me l'a offert, et il est genial 😍

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submitted 6 months ago* (last edited 6 months ago) by [email protected] to c/[email protected]
 
 

En cette période compliquée où fêtes de famille rime souvent avec déprime et solitude, pousser la porte d'un centre LGBT pour la première fois ça peut faire beaucoup de bien !

>> La carte en lien vous facilitera la recherche dans votre région.

Autres ressources associatives:

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